Nicholas Suter notre MVP « Home Made », retour sur une « Success Story »

Nicholas Suter est l’un des premiers à avoir rejoint l’aventure Cellenza. En décembre 2011, il entrait dans une toute jeune entreprise, tel Christophe Colomb croyant débarquer en Inde. Et cette métaphore n’est pas un choix laissé au hasard, Nicholas savait-il bien où il mettait les pieds ? Se doutait-il qu’à trois ans de là, il serait le plus grand auteur du blog Cellenza, le responsable de la veille et du partenariat et fraîchement reconnu comme l’un des professionnels de Microsoft les plus valeureux ? Retour avec Nicholas sur l’obtention de son titre.
(Ah oui, petit prérequis à la lecture de cet article : savoir lire le second degré !)
Nicholas, peux-tu me parler un peu de ton titre MVP ?
Déjà, j’en suis bien content. Et fier. Mine de rien, ça vient récompenser quelques années de travail, et surtout la dernière durant laquelle les choses se sont bien accélérées : la sortie du livre sur Visual Studio 2013 (en savoir plus), l’animation de sessions, les blogs… Le titre en lui-même n’est pas une finalité, mais il fait très plaisir.
Depuis quand le brigues-tu ?
Je l’ai dans un coin de ma tête depuis 3 ans maintenant. Puis les choses se sont progressivement accélérées. C’est vraiment durant l’année 2013 que les choses se sont mises en place.
Quelles ont été les étapes majeures de son obtention ?
Définitivement la sortie de notre livre. Et les premiers retours de la part de mes pairs.
As-tu eu des moments difficiles ?
Difficiles, c’est un grand mot. Mais un livre, c’est long et compliqué à écrire. Ça demande un peu d’endurance et pas mal de persévérance.
As-tu trouvé épanouissement, satisfaction… dans le chemin vers ce titre honorifique ?
Beaucoup, même. J’aime beaucoup comprendre et faire comprendre. C’est une grosse composante dans mon boulot de tous les jours. Je vois tout ceci comme une spirale vertueuse. Je passe énormément de temps à apprendre des choses et me former, notamment grâce aux autres. Ça me parait donc logique de transmettre ce que j’ai pu apprendre. Et, en voulait transmettre des choses, cela force à creuser de nouveaux sujets, à approfondir la théorie, ce qui me fait apprendre encore de nouvelles choses. Et ainsi de suite. Je pense que c’est un chemin qui peut ne jamais s’arrêter.
Penses-tu qu’il faille souligner d’autres points ?
Un gros merci aux copains qui m’ont accompagné durant cette année. Déjà merci Jason qui m’a bien balisé la route. C’est toujours plus simple de suivre des exemples qui fonctionnent bien que de partir tout seul dans le brouillard. Puis merci aux autres MVP de Cellenza, Michel, Fathi et maintenant Guillaume. J’ai connu pire comme environnement de boulot. Puis merci mes parents et le public, sans qui rien de tout ceci n’aurait pu arriver. Merci la vie. Oui, ma gueule.
Nicholas m’en voudra s’en doute un peu pour la sortie de cet article, le breton est modeste dans l’expression de ses émotions par nature et c’est beaucoup de lumière d’un coup ! Mais voilà, nous sommes fiers et nous autres, gens du sud, sommes expressifs !
