Femmes dans l’IT : rencontres avec des Cellenzannes

Historiquement, le monde de l’informatique était principalement féminin, avec notamment une large majorité de « codeuses ». Et pourtant, la tendance s’est inversée et l’on constate depuis plus de quarante ans une véritable pénurie de talents féminins dans le secteur IT. De nombreuses initiatives privées et publiques ont été lancées pour inciter les filles, dès leur plus jeune âge, à envisager des carrières dans l’informatique et valoriser les profils de femmes dans l’IT. Mais un tel changement prend du temps et les entreprises technologiques ont aujourd’hui encore beaucoup de difficultés à recruter des femmes, faute de candidates sur ce marché.
« Chez Cellenza, explique Nikolina Tihtcheva, Directrice des Ressources Humaines, nous faisons tout notre possible pour favoriser l’égalité hommes-femmes dans nos recrutements, mais nous manquons cruellement de candidates. C’est vraiment dommage car les études montrent que les équipes mixtes sont plus performantes, avec une dynamique très différente. C’est pourquoi nous continuons à mener des actions pour inciter les femmes à se positionner sur ces métiers techniques et à rejoindre nos équipes ! ».
A l’occasion de la Journée Internationale de Lutte pour les Droits des Femmes, Cellenza a souhaité partager avec vous les portraits de 5 consultantes, en espérant que, peut-être, ils susciteront chez certaines de nouvelles vocations !
Rendez-vous tous les jours de la semaine pour découvrir une nouvelle Cellenzanne !
PORTRAIT #5 : Nadège Baubant – Une autodidacte passionnée et touche-à-tout !
Nadège Baubant est Studio Manager chez Cellenza. Elle partage aujourd’hui avec nous son parcours atypique et son engagement pour valoriser la place des femmes dans l’IT.
Quel est ton parcours ?
Après un CAP/BEP en électrotechnique, j’ai passé un bac technique : j’ai notamment découvert la programmation de machines robotisées, ce qui m’a donné envie de m’orienter vers un BTS en informatique industrielle avec une alternance dans l’informatique de gestion. J’ai commencé à travailler en tant que développeuse dans différentes entreprises, avant de me lancer en freelance. Je suis touche-à-tout et autodidacte, et je suis intervenue pendant plusieurs années dans des grands groupes en tant que développeuse puis chef de projet. C’est dans ce cadre que j’ai découvert l’agilité : ça a été une révélation ! Je suis ensuite repartie en entreprise pour gérer une grosse équipe de développeurs dans laquelle tout était à construire : un vrai défi !
J’ai décidé de faire une VAE avec un Master en Management des Systèmes d’Information avant d’intégrer une entreprise de services au sein de laquelle j’ai mené des projets d’envergure. Depuis 2017, j’ai pris en charge et restructuré l’offre Studio de Cellenza : je peux ainsi continuer mon rôle de management tout en gardant une vraie proximité avec la technique.
Pourquoi as-tu choisi de travailler dans l’IT ?
Je fais de l’informatique depuis que je suis toute petite. J’ai dû avoir mon premier ordinateur à 11 ans et très tôt j’ai commencé à programmer des petits jeux. C’était vraiment une passion ! C’est donc assez logiquement que j’ai continué dans cette voie.
Quel conseil donnerais-tu aux jeunes filles et aux femmes qui souhaiteraient travailler dans l’IT ?
Je leur conseillerais tout simplement de ne pas avoir peur. L’IT n’est pas un gros mot ! C’est de la logique : dès lors qu’on a un cerveau, on peut travailler dans l’informatique. Cela demande de la force de caractère et de montrer de quoi on est capable : un métier comme un autre, en somme !
Comment se concrétise ton engagement pour valoriser la place des femmes dans l’IT ?
Je suis engagée depuis plusieurs années auprès de Women In Technology France (WIT France). Avec cette organisation, nous essayons de promouvoir la technologie auprès des femmes. Le constat est là : il y a encore trop peu de femmes dans l’IT. Il existe de nombreuses initiatives pour toucher une cible plus féminine, mais elles s’adressent surtout aux lycéennes et aux étudiantes. Et pour moi, il est déjà trop tard : des actions doivent être menées dès la maternelle et l’école primaire, pour intéresser les petites filles et les familiariser avec les matières scientifiques, leur montrer que ce n’est pas réservé aux garçons.
Avec WIT France, nous organisons de nombreux événements autour des femmes dans l’IT : Cellenza en a d’ailleurs accueilli plusieurs dans ses locaux. Nous allons aussi à la rencontre des jeunes générations dans les écoles, dans les forums…. Nous organisons également des évènements sur le mentorat auprès des femmes avec Gisèle Szczyglak, fondatrice du cabinet WLC Partners et experte en mentoring. Enfin, nous sommes en train de mettre en place un label « Women In Technology » à destination des entreprises. Beaucoup de projets mais qui sont tellement importants !
Il me tient vraiment à cœur que des jeunes filles puissent venir dans ce monde de l’IT et je suis d’ailleurs très fière que ma fille ait choisi cette voie !
💡 [BONUS]
Maelle est la fille de Nadège : étudiante à l’Epitech, elle a accepté de nous raconter l’influence qu’a eue sa mère sur son choix d’orientation professionnelle.
Quel est ton parcours ?
Dès le lycée, j’étais intéressée par l’informatique : j’ai donc passé un bac STI2D (Sciences et Technologies de l’Industrie et du Développement Durable). J’ai ensuite intégré l’Epitech, une école qui forme à l’informatique et aux nouvelles technologies. Actuellement en 3ème année, je suis mon cursus tout en étant en alternance dans une entreprise spécialisée dans l’embarqué automobile. Une manière de compléter ma formation théorique qui est principalement axée sur le web, le mobile, la sécurité et le réseau. A partir de la 4ème année, je devrai choisir ma spécialisation : j’ai prévu de m’orienter vers l’IoT.
Ta mère est très engagée pour la valorisation des femmes dans l’IT : quelle a été son influence sur ton parcours ?
Ce qui est drôle, c’est que j’ai choisi l’IT mais je ne fais pas du tout la même chose que ma mère !
Évidemment, elle a été un modèle car très tôt, elle m’a permis de m’intéresser à l’informatique. J’ai touché aux ordinateurs dès mon plus jeune âge : ma mère m’avait d’ailleurs fabriqué un clavier optimisé pour les enfants, avec seulement quelques touches, pour que je puisse me familiariser avec cet outil. Plus généralement, je crois que j’ai tout simplement regardé ce que faisaient mes parents : ils sont tous les deux très bricoleurs, ma mère s’occupe même de l’électricité ! C’est tout naturellement que j’ai eu envie, moi aussi, de pouvoir créer des choses et d’en voir la réalisation concrète.
Ce qui est amusant, c’est que ma mère m’a fait découvrir l’informatique mais c’est mon oncle qui m’a donné envie d’en faire mon métier. Il est designer automobile et depuis toujours, mon rêve est de mettre des systèmes informatiques dans les voitures qu’il dessine. Ce sont des technologies qui évoluent très vite et il est passionnant d’y contribuer.
Quel conseil donnerais-tu aux jeunes filles qui souhaiteraient s’orienter vers l’IT ?
Il ne faut pas avoir d’a priori et penser que l’informatique est compliquée pour les femmes. En réalité, ce sont surtout les compétences qui font la différence. Alors je leur dirais : « foncez, donnez le meilleur de vous-mêmes et montrez de quoi vous êtes capables ! »
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PORTRAIT #4 : Marie Housset – Une touche-à-tout au parcours hors-normes
Marie Housset est Product Owner chez Cellenza. Elle nous raconte son arrivée dans l’IT un peu par hasard et sa rencontre avec les équipes de Cellenza.
Quel est ton parcours ?
J’ai fait une école de commerce et obtenu un Master en Commerce International. J’ai complété cette formation par un double MBA, avec un Master en Marketing à Paris et un Master en Management à l’université de la Sunshine Coast, en Australie. A mon retour, j’ai été commerciale de terrain dans le secteur de la parfumerie, puis Business Developer pour une agence qui créait des applications mobiles dans l’univers du sport. On était vraiment aux tout débuts de ce phénomène et j’avais envie de comprendre comment tout cela fonctionnait. Rapidement j’ai accroché avec cette technologie et j’ai élargi mes compétences : je faisais du développement commercial, bien sûr, mais aussi de la gestion et du suivi de projet ou de l’UX-UI. C’était une petite structure alors j’ai pu m’impliquer dans toutes les étapes des projets. Je suis ensuite devenue Directrice Commerciale et Opérations dans une start-up : je manageais une équipe très soudée et gérais des projets concrets.
Par la suite, j’ai décidé de monter ma boite et de devenir consultante indépendante. Web, mobile, B2B, B2C… J’ai touché à tout ! C’est là que j’ai vraiment pris le goût du build : partir de rien, tout construire et laisser ensuite les clients prendre en main le run.
Je suis ensuite retournée en cabinet de conseil : c’est au cours d’une de mes missions que j’ai découvert l’agilité. Une certaine révélation pour moi ! J’ai passé une certification de Professional Scrum Product Owner (PSPO) et je suis arrivée chez Cellenza en février 2020 en tant que Product Owner. Concrètement, je suis le point d’entrée du besoin client. Je fais le lien entre le métier et l’équipe de développement, et j’assure un rôle de communicant auprès de la gouvernance sur les projets.
Je continue à évoluer : je suis en train de préparer une formation sur la méthode SAFe (Scale Agile Framework) et de monter en compétences sur le Product Management. J’ai envie d’être plus impliquée dans la stratégie du produit. Encore de nouveaux défis à relever !
Pourquoi as-tu décidé de travailler dans l’IT ?
Je fais partie de la première génération qui a eu un ordinateur à la maison et j’ai toujours été plus ou moins intéressée par l’informatique, principalement en tant qu’utilisatrice. Mais l’informatique n’était pas forcément une passion. J’ai découvert l’IT un peu par hasard au début de ma carrière et ça m’a beaucoup plu : j’ai saisi l’opportunité. C’est un secteur qui a de l’avenir, il y a plein de choses à faire et il y aura des besoins encore longtemps.
Pourquoi avoir choisi Cellenza ?
Mon arrivée chez Cellenza est une belle histoire ! J’ai fait la connaissance de l’équipe Studio de Cellenza au cours d’une de mes missions chez un client commun. Je peux dire que ça a été pour moi à la fois une découverte de l’agilité à un autre niveau mais aussi d’une entreprise différente. Ce que j’ai appris de Cellenza à travers ses consultants m’a donné envie : une entreprise à taille humaine, un grand professionnalisme, des équipes très techniques avec une démarche d’amélioration continue, une vraie culture d’entreprise… Autant de valeurs que je partageais et qui m’ont donné envie de rejoindre Cellenza quand une opportunité s’est présentée !
Quel conseil donnerais-tu aux jeunes filles et aux femmes qui souhaiteraient travailler dans l’IT ?
D’abord, d’avoir confiance en soi ! Travailler dans l’IT demande un certain leadership : il faut se faire confiance et ne pas se laisser démonter. Il faut arrêter de croire que l’informatique est forcément un « truc de matheux » ou même de « mecs ». On oublie trop souvent que l’IT englobe un grand nombre de sujets, associés à des expertises plus fonctionnelles telles que le marketing, le product management, le product design… Il n’est pas du tout obligatoire d’être très bonne en maths pour faire de l’informatique, il suffit d’avoir de la logique et de la créativité : il faut comprendre le besoin de l’utilisateur, proposer des solutions innovantes… Il y a beaucoup d’échanges de connaissances entre les équipes techniques et métiers : cette émulsion commune est une vraie richesse. Et quand on voit un projet qu’on a pensé à partir de zéro partir en production et fonctionner, quel sentiment de satisfaction ! C’est grisant, ça donne envie de se donner encore plus.
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PORTRAIT #3 : Awa Thiam – Continuer à se former pour évoluer
Consultante Dataviz, Awa Thiam a rejoint Cellenza fin 2020. Elle partage aujourd’hui avec nous son parcours et son envie de continuer à apprendre et à se former à de nouvelles solutions techniques.
Quel est ton parcours ?
Après un Master en ingénierie informatique, j’ai travaillé dans le domaine de la santé : j’intervenais sur des missions de développement web et de BI pour mettre en place des outils d’aide à la décision à destination des hôpitaux, cliniques et pharmacies. J’ai également été développeuse front-end, pour la mise en place de projets web. A mon arrivée en France en 2018, j’ai intégré une entreprise de services pour laquelle je remplissais des missions de développement, de BI et de déploiement de projets. Particulièrement intéressée par les sujets data, j’ai choisi de consolider mes connaissances dans ce domaine d’expertise en suivant une formation certifiante en Analyste Big Data à la faculté de Nanterre. Dans un univers technologique qui évolue très vite, j’ai ainsi pu renforcer mon savoir-faire autour des problématiques data, que je mets désormais au service des clients en tant que consultante Data.
Qu’est-ce qui t’a donné envie de travailler dans l’IT ?
Très jeune déjà, j’avais une vraie passion pour les matières scientifiques. Dès le collège, j’étais très forte en maths et en physique : j’ai même été majore de promo pour le brevet ! Adolescente, je rêvais de devenir médecin, mais finalement, après mon bac S, j’ai continué à faire des maths et de la physique puis de l’informatique à l’université.
Pourquoi as-tu choisi de travailler chez Cellenza ?
Après ma reconversion dans la data, j’ai eu de nombreuses opportunités car je suis sur un secteur où il y a beaucoup de demandes de la part des entreprises. J’ai choisi de venir chez Cellenza d’abord pour la bienveillance que j’ai ressentie dès les premiers entretiens. Je suis arrivée en plein confinement, et pourtant j’ai bénéficié d’un véritable accompagnement et un vrai suivi de la part de mon manager et de toute l’équipe Cellenza pour faciliter mon intégration. Autre élément très important à mes yeux : la formation. Pour moi, il est capital de continuer à monter en compétences et depuis mon arrivée chez Cellenza il y a seulement quelques mois, j’ai eu la possibilité de passer deux certifications Microsoft (l’une de Data Analyst et l’autre sur les fondamentaux Azure). Et je suis déjà en train d’en préparer une troisième !
Quel conseil donnerais-tu aux jeunes filles et aux femmes qui souhaiteraient travailler dans l’IT ?
Il ne faut pas croire que les matières scientifiques et l’informatique sont réservées aux hommes : on voit beaucoup de femmes qui ont des parcours dans ces domaines. Je n’ai jamais pensé qu’il y avait des matières destinées aux hommes et d’autres aux femmes : pour moi, le secret pour y arriver dans l’IT, c’est le travail. Et cela vaut aussi bien pour les femmes que pour les hommes !
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PORTRAIT #2 : Manon Pernin – Une montée en compétences et une évolution rapide
Manon Pernin est CTO Cloud chez Cellenza. Elle partage aujourd’hui avec nous sa montée en compétences sur le Cloud et sa rapide évolution chez Cellenza.
Quel est ton parcours ?
Après une prépa scientifique, j’ai fait une école d’ingénieur avant de terminer ma formation par un contrat de professionnalisation en alternance. J’ai intégré Cellenza en 2015 en tant que consultante Cloud et Intégration. J’avais déjà une première expérience sur le Cloud mais mon arrivée chez Cellenza m’a permis d’accélérer ma montée en compétences. L’usage du Cloud s’est répandu chez les clients : ma connaissance des services Cloud s’étoffant, j’ai naturellement pris un rôle d’architecte Cloud. Mon implication sur les sujets de supervision mais aussi le manque de maîtrise sur les plateformes Cloud m’ont amenée à me positionner sur des sujets de gouvernance Cloud. Début 2019, j’ai évolué sur un poste de référent technique en devenant Technical Officer Cloud. Un an plus tard, j’ai été nommée Deputy CTO Cloud. Depuis janvier 2021, je suis CTO Cloud : en complément de mon expertise technique, je prends également en charge le management d’une équipe.
Pourquoi as-tu choisi de travailler dans l’IT ?
L’informatique m’a toujours intéressée sans que ce soit pour autant une passion. Après deux ans de tronc commun en école d’ingénieur, j’ai dû choisir ma spécialisation entre plusieurs filières : énergétique, mécanique, bâtiment… Après pas mal d’hésitations, j’ai choisi de suivre la filière Informatique, dont le programme de formation couvrait des domaines très variés : algorithmique, développement, infrastructure, télécommunications… Le fait que je travaille aujourd’hui dans l’IT n’est pas vraiment un hasard mais ce n’était pas une évidence non plus !
Quel conseil donnerais-tu aux jeunes filles et aux femmes qui souhaiteraient travailler dans l’IT ?
Je leur dirais de ne pas s’arrêter aux préjugés et aux stéréotypes autour de cette profession. Dans l’imaginaire collectif, l’informaticien a une image très particulière, renforcée par la culture télévisée : une vision un peu cliché du « geek » qui ne vit que pour l’informatique. Pour moi, travailler dans l’IT n’exige pas d’être passionné par l’informatique. Bien au contraire ! Sans la passion, on a plus de recul : cela permet une vision plus objective, plus terre à terre.
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PORTRAIT #1 : Larysa Sudas – De BizTalk au data engineering… grâce aux orchidées
Larysa Sudas est consultante data : elle nous raconte aujourd’hui son parcours et sa réorientation professionnelle grâce à un projet personnel autour des orchidées !
Quel est ton parcours ?
Après un bac S, j’ai fait un DUT Informatique. J’ai commencé à travailler comme développeuse VB et SQL. Je suis arrivée chez Cellenza en 2015 en tant que consultante BizTalk Serveur. En 2018, j’ai fait un bilan de compétences : j’avais envie de changement et de m’orienter vers le big data et l’exploitation de cette donnée.
Parallèlement à mes activités professionnelles, je suis passionnée par les orchidées, des plantes particulièrement sensibles à leur environnement. C’est là que m’est venue l’idée de développer un projet personnel autour du big data et du machine learning : j’ai créé une application de routine de lumière intelligente pour les orchidées, prenant en compte de nombreuses données extérieures (telles que les prévisions météo, la luminosité…). Une manière pour moi de réunir ma passion tout en mettant en application de nouveaux savoir-faire techniques.
Cellenza a accompagné ma réorientation professionnelle, en m’accordant du temps pour me former et passer des certifications. Ensemble, nous avons mis en place un plan de montée en compétences. Après une première mission mixte au cours de laquelle j’intervenais à la fois sur du BizTalk Server et du data engineering, j’accompagne désormais à plein temps nos clients sur des problématiques data.
Pourquoi as-tu choisi de travailler dans l’IT ?
Au lycée, je n’avais pas spécialement de vocation et je ne savais pas ce que je souhaitais faire après mon bac. C’est une discussion avec une amie de ma mère qui travaillait dans l’informatique qui m’a incitée à m’orienter vers ce secteur. Elle m’a expliqué ce qu’elle faisait et les nombreuses possibilités offertes par le domaine de l’IT : des projets variés, une grande diversité des spécialisations, des compétences très recherchées par les entreprises… Ça m’a donné envie !
Quel conseil donnerais-tu aux jeunes filles et aux femmes qui souhaiteraient travailler dans l’IT ?
Dire que l’informatique est un domaine réservé aux hommes est un cliché. Je le vois au quotidien : je travaille tous les jours avec des femmes hyper compétentes dans leur domaine. Alors je n’ai qu’un seul conseil à donner : foncez !